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Sommaire n°56
DOSSIER :
Relire Senghor Textes réunis par Elara Bertho Relire Senghor ? (Elara Bertho et Étienne Smith)…………………………… 5 À la gauche de Senghor : relire le président en action Relire le poète Senghor à la lumière de son fédéralisme politique Le projet de la série Liberté : un colosse aux pieds d’argile Le Royaume d’enfance sous le regard de Gaïa (Xavier Garnier)………. 63 Lecture génétique du poème « Chant pour Yacine Mbaye » Entretien avec Sarah Frioux-Salgas (Elara Bertho)……………………….. 87 L’œuvre en élaboration :de quelques « mots-ciment » |
n Hommage
- Hommage à Jacques Chevrier (R. Fonkoua) 117
n À propos… des Bons ressentiments d’Elgas
- Libre ! (-P. Orban) 121
- Des ambivalences post-coloniales à l’incolonisable
(Lombard) 123 - Je t’aime, moi non plus : les émotions post-coloniales
d’Elgas (N. Chavoz) 127
n Varias
- « Toi / ce bris d’île entière » : le fragment poétique comme
relation au monde dans l’œuvre d’Édouard J. Maunick
(C. Lotz) 135 - Renoncer à l’épopée: trois figurations littéraires de la
« Toussaint rwandaise » de 1959 (Reisdorff, Marchal, Ruti)
(P. Halen) 151
n Comptes rendus
- Anyaduba(C.A.), The Postcolonial African Genocide Novel (F. Ugochukwu) 173
- Bonnet(G.), Récit de soi et construction des identités
culturelles (S. Rebeix) 175 - Coste(M.), Sankofa Cry (M. Mangui) 178
- Cros(B.), Rogez (M.), Teulié (G.), eds., The Legacy of a
Troubled Past (I. Lods) 180 - Fyfe(A.), Krishnan (M.), eds., African Literatures as World Literature (M. Crémoux-Le Roux) 182
- Fraiture(P.-P.), ed., Unfinished Stories (P. Leroux) 184
- Hénin(), Salvador (X.-L.), Tavoillot (P.-H.), dir.,
Après la déconstruction (D. Ranaivoson) 186 - Laferrière(D.), Petit traité du racisme en Amérique
(M. Botaro) 188 - Lebdai(B.), Afrique du Sud : histoire et littérature
(B.B. Malela) 191 - Locha Mateso(E.), Écrire le Congo (M. Le Lay) 194
- Mangeon(A.), Henri Lopes : un art du roman démocratique (M. Coste) 196
- Mbassi Atéba(R.), dir., Francophonie et francophilie
littéraires (B. De Meyer) 198 - Morzewski(C.), Ranaivoson (D.), dir., Ahmadou Kourouma :
Les Soleils des indépendances… (M. Botaro) 201 - Moura(J.-M.), La Totalité littéraire (A. Demeulenaere) 204
- Mouzet(A.), Moïse et la Terre promise (W.B. Obolo) 206
- Niang(M.-F.), Identités françaises (C. Mazauric) 208
- Tödt(D.), The Lumumba Generation (K. Aggarwal) 211
- van der Poel(I.), New Literary Voices of the Moroccan
Diaspora (T. Leperlier) 214 - Waltham-Smith(N.), Mapping (Post)colonial Paris by Ear (A. Gaulier) 217
appel à communication : « Des communautés aux communs : musiques et littératures de l’Afrique et de ses diasporas. «
Des communautés aux communs : musiques et littératures de l’Afrique et de ses diasporas.
Journée d’étude de l’Association pour l’étude des littératures africaines (APELA), 8 novembre 2024, Maison internationale de la recherche de Neuville-sur-Oise (95).
Organisée par :
- Francesca Aiuti (université de Rome)
- Sylvie Brodziak (CY Cergy Paris Université)
- Marion Coste (CY Cergy Paris Université)
L’association de la musique et de la littérature dans les arts d’Afrique et des diasporas africaines n’est plus à démontrer : outre les écrivains qui affirment l’importance de la musique dans leur écriture, à l’instar de Léonora Miano, Koffi Kwahulé ou Daniel Maximin, outre la prégnance des personnages de musiciens ou de mélomanes, dans Mirage de Paris d’Ousmane Socé, Le Lys et le Flamboyant d’Henri Lopès ou La Polka de Kossi Efoui, force est de constater que les genres musicaux de l’Atlantique noir[1] entremêlent littérature et musique.
Il est remarquable que la musique, telle qu’elle est présentée en littérature ou telle qu’elle s’autodéfinit dans le rap, apparaît souvent comme un moyen de renforcer, voire de fonder, les liens communautaires : pensons à Ady qui écoute de la musique antillaise à Paris pour renouer avec son île, dans Ady de Gisèle Pineau, ou à l’enterrement en musique de Kolélé au début du Lys et du Flamboyant d’Henri Lopès, à propos duquel le narrateur écrit « Comment lui savoir gré de nous avoir fait mesurer, à l’occasion de son départ, la taille de notre famille[2] ? »). Dans le rap, ce sont les différentes façons de nommer le groupe d’appartenance, à travers le lexique de la famille (la Fonky Family, ou toutes les mentions des frères/reufs ou de la famille/mifa), ou d’autres termes (« That’s my People » est un titre de NTM).
Pourtant, Paul Gilroy a montré que la musique, telle qu’elle se construit dans l’Atlantique noir, est fondamentalement ouvertes à des influences multiples : il démontre, exemples issus du reggae, de la funk, du jazz ou du rap à l’appui, que les genres musicaux circulent et s’enrichissent au contact des cultures diverses de l’Altantique noir. Ainsi, la rumba congolaise, musique congolaise par excellence, reprend un rythme cubain ; l’album de jazz Afro blue de la chanteuse afro-américaine Dee Dee Bridgewater dans lequel elle met à l’honneur des instruments traditionnels africains et collabore avec des musiciens japonais ; le rap dakarois qui s’approprie certains sons afro-américains. Loin d’être un repli sur des traditions entérinées, la musique est toujours ouverture, et enrichissement par le contact avec l’Autre. En littérature, la musique permet souvent de traduire la rencontre des cultures et leur dialogue harmonieux : on pense par exemple au rôle du jazz dans la construction du territoire mental que Léonora Miano nomme « Afropéa », ou à l’air de jazz « Ishmaël », du jazzman sudafricain Dollar Brand, qui lie la méditerranéenne Ariel au guadeloupéen Adrien dans Soufrières.
Pour résoudre ce paradoxe, nous voudrions, durant ce colloque, étudier la musique de l’Atlantique noir et les références musicales de la littérature de l’Afrique et de ses diasporas à l’aune du concept de « commun », compris ainsi :
Par « communs », on entend donc un ensemble de pratiques instituantes et d’institutions constituées répondant au principe selon lequel un groupe plus ou moins étendu s’engage dans une activité collective productrice de biens tangibles ou intangibles mis à la disposition des commoners ou d’une collectivité plus large, selon des règles démocratiques d’auto-organisation[3].
En effet, penser la musique comme un commun, qui contribue à générer, d’après Christian Laval, une « autre économie » cherchant à défaire le néocapitalisme et à construire une société de la coopération, permettrait selon nous d’analyser les liens évidents qui unissent musique et constitution de communautés en évitant toute forme de figements. Ce serait aussi un moyen d’analyser la question de la tradition, et de la référence à des musiques traditionnelles, à l’aune de la création : la littérature révèlerait alors la façon dont la tradition musicale africaine, afro-américaine ou antillaise, est un commun, à la disposition de celles et ceux qui veulent s’en emparer pour l’enrichir par leur pratique créative.
On pourrait aussi analyser les pratiques musicales collaboratives, qui défont l’opposition d’un public passif à un artiste actif pour considérer l’objet musical improvisé comme le résultat d’une coopération : ainsi les battles de rap confèrent un rôle important au public[4]; l’improvisation du jazz à plusieurs fait entendre un geste de création commun, qui est peut-être création d’un commun.
Nous souhaiterions donc recevoir :
- Des propositions portant sur les références musicales dans des œuvres romanesques, poétiques ou théâtrales de l’Afrique subsaharienne et de ses diasporas, qui montreraient comment la musique permet l’émergence ou la consolidation d’une communauté, comprise comme l’espace des coopérations multiples ;
- Des propositions portant sur des genres musicaux, et particulièrement sur le rap, qui interrogeraient la façon dont la musique construit des communautés internationales et se nourrit d’influences multiples ;
- Des propositions qui analyseraient les circulations à l’œuvre, par la musique ou par la référence à la musique en littérature, dans l’Atlantique noir, lesquelles contribuent à forger une communauté ouverte et inclusive.
Les propositions, d’une demie page accompagnée d’une courte bio-bibliographie, sont à envoyer à marion.coste@cyu.fr, sylvie.brodziak@cyu.fr, francesca.aiuti@uniroma3.it, avant le 1er janvier 2024. Une réponse vous sera communiquée début mars.
Bibliographie :
Alem, K. « Un champ d’étude encore vaste… » dans Paroles et musique, Notre Librairie, n° 154, avril-juin 2004
Bebey, F. Musique de l’Afrique, Paris, Horizons de France, 1969.
Béthune, Ch. Le Jazz et l’Occident, Paris, Klincksieck, 2008.
Béthune, Ch. Le Rap, une esthétique hors la loi, Paris, Autrement, 2003.
Bridet, G., Brinker, V., Burnautzki, S., et Garnier, X., (dir.), Dynamiques actuelles des littératures africaines : panafricanisme, cosmopolitisme, afropolitanisme, Paris, Karthala, 2018.
Coste, M., Sankofa Cry : mémoires musicales et improvisations littéraires dans les romans de l’Atlantique noir, Paris, Champion, 2023.
Ghio, B. Sans fautes de frappe. Rap et littérature, Marseille, Le Mot et Le Reste, 2016
Gilroy, P. L’Atlantique Noir, modernité et double conscience, traduit par Charlotte Nordmann, Paris, Amsterdam, 2010.
Hammou, Karim, Une histoire du rap en France, Paris, La Découverte, 2012.
Hammou, K., Sonnette, M., 40 ans de musique hip hop en France, Paris, Presses de Science Po, 2022.
Higginson, P. Scoring race, Jazz, Fiction, and Francophone Africa, James Currey, 2017.
Jourdain, E. Les Communs, Paris, PUF, Que sais-je, 2021.
Kwahulé, K., Mouëllic, G., Frères de son, Montreuil, éditions Théâtrales, 2007.
Laval, C., « « Commun » et « communauté » : un essai de clarification sociologique », SociologieS [En ligne], Dossiers, mis en ligne le 19 octobre 2016, consulté le 24 juin 2022. URL : http://journals.openedition.org/sociologies/5677 ; DOI : https://doi.org/10.4000/sociologies.5677.
Locatelli, A. Jazz belles-lettres. Approche comparatiste des rapports du jazz et de la littérature, Paris, Classiques Garnier, 2011.
Lomazzi, L, Ménard, M, « Où en est la théorie du/des commun(s) ? Vers une économie politique culturelle. », tic&société [en ligne], vol. 12, n°1 | 1er septembre 2018.
Pujol, L.(dir.), Communs du savoir et bibliothèques, éditions du cercle de la librairie, 2017.
Rochfeld, J. Cornu, M., Martin, G. J. ( dir.) « L’échelle de communalité. Propositions de réforme pour intégrer les biens communs en droit », Rapport final de recherche GIP Mission de recherche Droit et Justice, n°17(34, avril 2021.
Rochfeld, J. « Penser autrement la propriété : la propriété s’oppose-t-elle aux « communs » ? », Revue internationale de droit économique, vol. xxviii, no. 3, 2014, pp. 351-369.
Séité, Y. Le jazz, à la lettre, Paris, PUF, 2010.
Teulié, G. (dir.), Afrique, musiques et écritures, Les carnets du Cerpanac, n° 1, Montpellier III, 2001.
Vettorato, C. Un monde où l’on clashe : la joute verbale d’insultes dans la culture de rue, Paris, Éditions des Archives contemporaines, 2008.
Collectif ZoneZadir, « Zones à dire, pour une écopoétique transculturelle », Littérature, 2021/1 (N° 201). DOI : 10.3917/litt.201.0010. URL : https://www.cairn.info/revue-litterature-2021-1.htm.
[1] Gilroy, P. L’Atlantique Noir, modernité et double conscience, traduit par Charlotte Nordmann, Paris, Amsterdam, 2010.
[2] Henri Lopès, Le Lys et le Flamboyant, Paris, Seuil, 1997, p. 18.
[3] Laval, C., « « Commun » et « communauté » : un essai de clarification sociologique », SociologieS [En ligne], paragraphe 2.
[4] Vettorato, C. Un monde où l’on clashe : la joute verbale d’insultes dans la culture de rue, Paris, Éditions des Archives contemporaines, 2008.
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Congrès Dakar « Littératures africaines et écologie », Hébergement
Hébergement :
Deux possibilités :1) réserver une chambre au sein d’un des bâtiments de la Maison de l’Université qui en comprend 3 : 2 au sein du campus de l’UCAD (le bâtiment principal et le bâtiment annexe) et 1 sur le site Mermoz à 3 km de là. Le comité d’organisation se chargera d’effectuer les réservations. À noter qu’une avance de 50% vous sera certainement demandée (modalités de paiement non communiquées pour l’instant).2) réserver par vous-mêmes une chambre dans un des hôtels à proximité (voir ci-dessous les établissements recensés par les collègues de Dakar)Pour la première option, écrire à Alicechdm@gmail.comRetenir 1 euro =655f cfa
Bâtiment principal (Maison de l’Université)
Nombre disponible
Prix nuitée pour 1 personne
Prix nuitée pour 2 personnes
Chambres à 2 lits
5
26.500
37.000
Chambres à lit de 2 places
3
NOTA BENE : Il est à préciser que pour le bâtiment principal, toutes les pièces sont des studios comprenant chambre, salon et salle de bain.
Bâtiment annexe de la Maison de l’Université
Nombre disponible
Prix nuitée/personne
Prix nuitée pour 2 personnes
Chambres à 2 lits 5
16.500
22.000
Chambres à lit de 2 places 3
SITE DE MERMOZ
Nombre disponible
Prix nuitée/personne
Prix nuitée pour 2 personnes
Chambres à 2 lits
2
20.000 Fr
25.000
4
16.500 Fr
22.000
Chambres à lit de 2 places
8
20.000 Fr
25.000
10
16.500 Fr
22.000
À Mermoz, il y a des chambres à 16.500fr la nuitée pour une personne et à 22.000fr pour 2 personnes, dont certaines sont à 2 lits (02), et d’autres à lits de 2 places (04).
Il y a d’autres types de chambres estimés à 20.000fr la nuitée pour une personne (08) et à 25.000fr pour 2 personnes (10).
Pour la seconde option, voici la liste :
Sites d’hébergement proches de l’université
HOTEL LE DJOLOF (Fann Hock)
Nombres de chambres disponibles : 30
Prix pour la nuitée : 49.500fr
Prix nuitée pour 2 personnes : 67.500
Conditions de réservation : verser 70%, 2 mois à l’avance
HOTEL MARIE LUCIENNE (Point E)
Nombres de chambres disponibles : 23
Prix pour la nuitée : 42.800fr
Prix nuitée pour 2 personnes : 57.000fr
Conditions de réservation : verser 50%, 1 mois à l’avance
Moyen logistique : véhicules particuliers
Tarif pour l’aéroport Blaise Diagne : 20.000fr pour une personne, et 10.000fr de plus pour chaque personne supplémentaire.
Sommaire du numéro 53 La traduction en Afrique
DOSSIER :
Approche pluridisciplinaire et postcoloniale de Textes réunis par Christine Le quellec Cottier Pour un universel latéral pluridisciplinaire de la traduction Traduire, moderniser, re-raconter : glose de traducteurs dans Traduction et circulation transnationale : le cas de la littérature gabonaise (Laude Ngadi)………………………………………………………….. 27 Écritures d’Afrique, écritures en Afrique : « Proche Afrique » Politique linguistique et traduction juridique en La traduction comme traversée des espaces urbains dans La traduction vers l’anglais de l’Hommage à la femme noire : transposition d’une encyclopédie (Anaïs Stampfli) ………………………. 79 |
n À propos… des prix littéraires de la rentrée 2021
- Lauréats africains, l’exception qui confirme la règle
(Madeline Bedecarré) 99 - Quelques commentaires sur l’attribution du prix Nobel
de littérature à Abdulrazak Gurnah (Philip Whyte) 103 - « Le Nobel américain » de Boubacar Boris Diop
(Tobias Warner) 108 - À propos de Damon Galgut (Mélanie Joseph-Vilain) 112
- Mohamed Mbougar Sarr, ou la moins secrète mémoire
des lettres (Ninon Chavoz) 116
n Varias
- Comment lire Doguicimi ? Formes et enjeux d’un
roman historique (Vincent Debaene) 123 - Frances W. Pritchett (1922-2012) et la littérature igbo
en ligne : une œuvre pionnière (Françoise Ugochukwu) 151
n Comptes rendus
- Arnold(M.), Duboin (C.), Misrahi-Barak (J.), eds.,
Borders and Ecotones in the Indian Ocean : Cultural
and Literary perspectives (S. Dusowoth) 169 - Charles(J.-C.), Le Corps noir (B. Bouchedi Nzouanga) 171
- Chavoz(N.), Inventorier l’Afrique (P. Samba Diop) 173
- Cellier(M.), Damerdji (A.), Lloret (S.), dir., La Fabrique
de la race dans la Caraïbe (L. Saint-Loubert) 175 - Clavaron(Y.), La Carte et le territoire colonial
(D. Ranaivoson) 177 - Dib(M.), Le Vœu de la septième lune : théâtre (B. Lebdai) 178
- Dima(V.), The Beautiful Skin (P. Saveau) 180
- Edmondson(L.), Performing Trauma in Central Africa
(M. Le Lay) 182 - Eluther(E.), L’Africanité dans la littérature caribéenne (M. Unter Ecker) 186
- Gehrmann(S.), Autobiographik in Afrika (P. Leroux) 188
- Hardy(G.), Ergaste ou la vocation coloniale (P. Halen) 189
- Harrow(K.), ed., African Filmmaking : Five Formations (M. Caporale) 192
- Jackson(J.-M.), The African Novel of Ideas (M. Arnold) 195
- Kabongo Malu(E.), Mabika Kalanda et l’échec de
l’édification nationale au Congo-Kinshasa ( Thiam) 199 - Kandé(S.), The Neverending Quest for the Other Shore
(E. Bertho) 201 - Kasereka Kavwahirehi, Politiques de la critique (B. Kim) 202
- Kishiba Fitula(G.), dir., Y. Mudimbe : appropriations, transmissions, reconsidérations (P.-Ph. Fraiture) 203
- Malela(B.), Färnlöf (H.), dir., Position(s) du sujet
francophone (K. Aggarwal) 205 - Miano(L.), Afropea (D. Ranaivoson) 208
- Mouralis(B.), Lumières : essais sur une vie (P. Halen) 210
- Mukenge-Ngoie(A.), Ngemena de Paul Lomami
Tchibamba ( Maalu-Bungi) 213 - Murat(M.), La Poésie de l’après-guerre (N. Chavoz) 213
- Mwangi(E.), The Postcolonial Animal (D. Boulanger) 216
- Ogbaa(K.), The Life and Times of Chinua Achebe
(M. Naumann) 218 - Peterson(D.), Hunter (E.), Newell (S.), African Print
Cultures (X. Garnier) 219 - Price-Mars(J.), Ainsi parla l’oncle (W. Idiatha) 221
- Steemers(V.), Francophone African Narratives and
the Anglo-American Book Market (M. Crémoux-Le Roux) 222 - Suter(P.), Fournier Kiss (C.), dir., Poétique des frontières (L. Ngadi) 225
- Tonda(Joseph), Afrodystopie (S. Mbondobari) 227
- Zabus(Ch.), Le Palimpseste africain (C. Mazauric 229
n Revues
- Essays in French Literature and Culture
(Ch. A. Oikonomopoulou) 231 - French Studies in Southern Africa, n°51-1 (A. Coulibaly) 233
- Présence francophone, n°91 (C. Mazauric) 235
n Thèses soutenues en 2021
- Naouel Abdessemed (Univ. Jean Moulin – Lyon 3)243
- Mamadou Hady Ba ( Gaston Berger de Saint-Louis) 243
- Inés Bigot (Univ. Sorbonne Nouvelle) 244
- Marine Cellier (Aix-Marseille Univ.) 244
- Alice Chaudemanche (Univ. Sorbonne Nouvelle) 245
- Alice Desquilbet ( Sorbonne nouvelle) 246
- Amos Kamsu Souoptetcha (Univ. de Yaoundé 1) 246
- Yao Jean Marie Konan (Univ. Felix Houphouët Boigny) 247
- Nelly Ludwine Mabickas-Boussamba (Univ. de Limoges) 248
- Ghousmane Mohamed (Univ. de Bayreuth et Univ. Abdou Moumouni de Niamey) 248
- Ghislain Méliodore Mvoula-Massamba
(Univ. Marien Ngouabi) 249 - Patrick Armand Ouadiabantou (Univ. Marien Ngouabi) 250
- Ousséni Ouédraogo (Univ. Joseph Ki-Zerbo) 250
- Isabelle Schroeder (Univ. Humboldt de Berlin) 251
- Mamadou Yaya Sow (Univ. Général Lansana Conté de
Sonfonia-Conakry) 251 - Max-Levis Temga Djawa (Univ. de Maroua) 252
- Nongzanga Joséline Yaméogo (Univ. de Bourgogne Franche-Comté et Univ. Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou) 253